Frances Bodomo | Writer/Director
Frances Bodomo is a Ghanaian filmmaker who grew up in Ghana, Norway, California, and Hong Kong before moving to New York City to study film at Columbia University (BA) and the Tisch School of the Arts (MFA). Her goal is to make conceptually strong films that bring fresh African images to the international forefront.
Her first short film, Boneshaker (starring Oscar-nominee Quvenzhané Wallis), premiered at the 2013 Sundance Film Festival and played at over 20 film festivals including Telluride, SXSW, LA Film Fest, and the Edinburgh International Film Festival.
Her latest short film, Afronauts (recipient of the Alfred P. Sloan Production Grant & Spike Lee Fellowship), will premiere at the 2014 Sundance Film Festival. She is developing the feature version of the film.
She was most recently accepted into the 2014 Berlin Talents program. @tobogganeer
Vintage Album Artwork | Hailing from Benin, D’Almeida Blucky et Les Black Santiago.
Image courtesy of Radio Diffusion.
Faith Ringgold, Black Light Series #10: Flag for the Moon: Die Nigger, 1969
James Baldwin - No Name In The Street
Barkley L. Hendricks, Lawdy Mama, 1969
cinemakenya:
African metropolis 6 courts métrages, dans 6 métropoles africaines Abidjan, Le Caire, Dakar, Johannesburg, Lagos et Nairobi, 6 réalisateurs à suivre. Une belle initiative transcontinentale pour promouvoir les nouvelles représentations de l'Afrique et bousculer les idées reçues.
LaToya Ruby Frazier, Grandma Ruby’s African Statue Heads from the project The Notion of Family, 2007
La précarité est la condition que plusieurs nouveaux mouvements sociaux combattent. De tels mouvements ne tentent pas de dépasser l’interdépendance ni même la vulnérabilité quand ils combattent la précarité; ils tentent plutôt de produire les conditions dans lesquelles la vulnérabilité et l’interdépendance deviendront vivables. Il s’agit d’une politique dans laquelle l’action performative prend des formes incarnées et plurielles en attirant l’attention critique sur les conditions de survie corporelles et du bien-être dans le cadre d’une démocratie radicale. Si je dois vivre une vie bonne, ce sera une vie bonne vécue avec les autres, une vie qui ne serait pas une vie sans ces autres. Je ne perdrai pas ce moi que je suis ; qui que je sois, mon moi sera transformé par mes relations avec les autres, puisque ma dépendance à l’égard de l’autre, est l’essence même de cette dépendance sont nécessaires pour vivre et vivre bien. Notre exposition commune à la précarité constitue le terrain partagé d’une égalité potentielle et nos obligations réciproques de produire ensemble des conditions de vie vivables. En reconnaissant le besoin que nous avons les uns des autres, nous reconnaissons tout aussi bien les principes de base qui informent les conditions sociales, démocratiques de ce que nous pourrions continuer à appeler la "vie bonne". Ce sont les conditions critiques de la vie démocratique, au sens où elles appartiennent bien à la crise en cours mais aussi au sens où elles appartiennent à une forme de pensée et d’action qui répond aux urgences de notre temps.
Judith Butler, Qu'est-ce qu'une vie bonne?, Manuels Payot, 2014.
"Of whom and of what are we contemporaries? And, first and foremost, what does it mean to be contemporary?" Giorgio Agamben, Qu’est-ce que le contemporain?, Paris, Rivages, 2008. Photo: Icarus 13, Kiluanji Kia Henda
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